Le 8 mars, cela fera 11 mois que le journaliste Olivier Dubois est otage au Mali, enlevé alors qu’il était en reportage à Gao. Vous vous sentez impuissant ?
Voici 6 idées simples et faisables, pour contribuer à sa libération, à le faire connaitre, à soutenir ses proches, à faire monter vers lui l’espoir de le revoir, en espérant que cette rumeur lui parvienne. Chacun peut faire quelque chose, journaliste ou citoyen… ou les deux !
1. Aller devant le Panthéon le lundi 07 mars de 20h à 22h
Le portrait d’Olivier y sera projeté par Reporters sans frontières et un rassemblement organisé. Quiconque peut s’y rendre. Venez seul.e, avec vos proches, amis, collègues, contacts, faire masse ! Rendez-vous place du Panthéon, côté bibliothèque Sainte-Geneviève.
2. Suivre et partager les publications de son comité de soutien
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et utiliser le #FreeOlivierDubois
10 jours d'absence supplémentaires au compteur…
Olivier Dubois est otage depuis 320 jours.#FreeOlivierDubois#Mali #France #Journalisme pic.twitter.com/dbWUZ8tLp3— Soutien à Olivier Dubois – #FreeOlivierDubois (@FreeOlivierDub1) February 21, 2022
3. Diffuser cette vidéo
Elle est parfaite pour sensibiliser ceux qui n’ont jamais entendu parler d’Olivier Dubois.
3. Mieux le connaître pour mieux en parler
De nombreux articles ont été écrits sur lui, mais une émission musicale passée sur RFI en janvier – Couleurs Tropicales – l’a vraiment décrit de manière très vivante, grâce à sa compagne Déborah, qui nous raconte son parcours, ses valeurs et ses goûts éclectiques, de IAM à Joe Dassin, de Terry Gilliam à Albert Londres, en passant par la marche, les voyages, la cuisine, la Martinique, et bien-sûr le Mali.
4. Lui écrire un mail
Il lui sera remis à sa libération, et pour le moment fera chaud au coeur à ses proches, et les aidera à tenir le coup.
[uix_icons size=’40’ units=’px’ color=’#843179′ name=’envelope’] freeolivierdubois@gmail.com
4. Etre solidaire aussi des deux autres journalistes otages au Mali
En lisant et diffusant ce communiqué commun d’organisations syndicales de journalistes malienne (Union nationale des journalistes du Mali – Unajom), françaises (SNJ, SNJ-CGT et CFDT-journalistes), et internationale (Fédération internationale des journalistes), ainsi que la Maison de la presse du Mali, au sujet d’Hamadoun Nialibouly et Moussa M’Bana Dicko, journalistes de radios locales également captifs actuellement.