Confédération

  • Alors que la mobilisation ne faiblit pas contre le projet de réforme des retraites porté par le Gouvernement, une nouvelle journée de mobilisation intersyndicale est prévue ce jeudi 16 février 2023.

    La mobilisation de tous reste importante pour maintenir la pression alors que l’Assemblée nationale a prévu de discuter de ce texte jusqu’au 17 février seulement.

    Nous devons être encore plus nombreux pour exprimer notre rejet de ce texte et dire avec force à la Première Ministre que #64ansCestNon !

    De nombreuses manifestations seront organisées dans toute la France, n’hésitez pas à les rejoindre.

  • La CFDT a de nouveau été très présente dans les cortèges, ce mardi 31 janvier 2023, pour dire haut et fort à la Première ministre #64ansCestNon.

    Au-delà de l’éternelle querelle sur le nombre de manifestants, force était de constater que la mobilisation a été plus forte que pour la première manifestation, du 19 janvier. Toujours est-il que les autorités évoquent un comptage officiel de 1,2 million de manifestants au niveau national, ce qui est tout de même considérable.

    « Il y a eu moins de grévistes mais plus de monde dans la rue, le privé s’est mobilisé. Dans le cortège parisien, il y a des gens de tous les secteurs, publics comme privés et massivement du privé ! », a commenté Laurent Berger au micro de RTL matin, « il faut que le Gouvernement écoute ce qui s’est passé hier dans les rues, avec un profond rejet des 64 ans »

    « Hier, c’était une très grande réussite, avec du secteur privé comme du public. Depuis 1995, 1995 compris, jamais la police n’a compté autant de manifestants, et ça, il faut que ce soit entendu« , a ajouté Yvan Ricordeau sur France Info. « Face à un tel niveau de rejet, à un moment, le Gouvernement va devoir changer d’optique. La CFDT ne s »est jamais opposée à une réforme des retraites, si le gouvernement remet le dossier dans le bon sens, la CFDT participera à des concertations »

    L’enjeu c’est que les 64 ans soit repoussé à l’assemblée nationale, parce que c’est la mesure la plus injuste et la plus brutale. L’intersyndicale devrait appeler à une troisième journée de mobilisation, sans doute un samedi, afin que davantage encore de salariés puissent manifester.

  • Le Gouvernement vient d’annoncer officiellement que les Françaises et Français devront désormais travailler jusqu’à 64 ans !

    Concrètement, cela signifie :

    • Né(e)s en 1961 > 3 mois de travail en + pour rien !
    • Né(e)s entre 1962 et 67 > de 6 à 21 mois en + pour rien !
    • Né(e)s en 1968 et plus > 2 ans de travail en + pour rien !

    LA CFDT APPELLE À LA MOBILISATION POUR DIRE HAUT ET FORT : 64 ANS C’EST NON !

    Cette mesure est brutale et profondément injuste. Elle va contraindre des millions de personnes à travailler plus, sans gagner plus.

    Ce sont les salariés qui ont commencé à travailler tôt et/ou qui ont souvent des carrières modestes qui vont payer le prix de cette réforme. Pire, il n’y a pas de problème dramatique de financement de notre système de retraites qui justifie une telle mesure.

    POUR LA CFDT, CELA A TOUJOURS ÉTÉ NON !

    CFDT-Journalistes, la F3C CFDT et le SNME-CFDT appellent les journalistes, employés de presse, techniciens de l’audiovisuel, du public comme du privé, à se mettre en grève le JEUDI 19 JANVIER et à rejoindre les cortèges partout en France.

    Retrouvez toutes nos revendications pour une réforme des retraites juste et solidaire sur : https://cfdt.fr/reforme-des-retraites

  • A mi-mandat, CFDT-Journalistes a tenu une assemblée générale extraordinaire, jeudi 1er décembre, afin de procéder à une élection de nouveaux membres en son Comité national.

    Depuis son élection, en décembre 2020, certains ont quitté la profession, d’autres ont été appelés à d’autres tâches, certains n’ont pas eu le temps de s’impliquer dans nos instances or, il est nécessaire d’avoir un CN de CFDT Journalistes fonctionnel pour porter les dossiers.

    Union fédérale, la CFDT-Journalistes regroupe les adhérents journalistes autour de questions professionnelles et d’éthique. Elle est nécessaire au vu de l’organisation même de la CFDT, avec une grande partie des journalistes affiliés au SNME (Syndicat national des médias et de l’écrit), mais également les journalistes de la presse écrite régionale, affiliés aux S3C. Notre structure est donc là pour faire le lien entre les journalistes des différentes branches professionnelles, radio, télé, presse écrite parisienne, presse écrite régionale, en lien avec les syndicats chargés notamment du revendicatif et de la défense des adhérents.

    Organisation non corporatiste, nous estimons à la CFDT que le collectif de travail est un tout, et que les journalistes sont partie de ce tout. Mais la loi leur donne un statut particulier sur lequel, sans être corporatiste, il faut veiller. C’est ainsi que CFDT-Journaliste participe aux instances de la profession, en lien avec la Fédé et les syndicats.

    Des revendications précises

    En cette année d’élections présidentielle et législatives, nous avons présenté six préconisations fortes pour le début du quinquennat avec des propositions précises, concrètes, atteignables, et lisibles. Avoir fait ce travail nous permet aujourd’hui de revendiquer une antériorité sur certains dossiers.

    Actuellement, nous portons des revendications sur le renforcement de la protection des journalistes, pour que s’attaquer à un confrère dans l’exercice de son métier devienne un délit, et ne soit plus qu’une simple contravention ; nous sommes aussi mobilisés pour la création d’un vrai statut des pigistes à l’étranger, qui sont actuellement dans l’angle mort de la protection sociale. C’est un sujet de journalistes, mais bien concret : il s’agit de leur santé, leur retraite.

    Des situations souvent complexes

    Vis-à-vis des consoeurs et confrères, CFDT-Journaliste est souvent une porte d’entrée ou un recours lorsqu’ils se posent des questions sur leur contrat de travail, leurs droits, ou souhaitent rejoindre la CFDT.

    Les questions que l’on nous adresse sont souvent étonnantes, inattendues, complexes et sont le reflet de pratiques pas toujours correctes de la part des employeurs… ou même des institutions.

    La complexité des situations est encore plus grande lorsqu’il s’agit de pigistes, pour lesquels les réponses doivent être très pointues. C’est dans cet esprit que nous avons développé un site spécifique : pigistes-cfdt.fr, de plus en plus complet. Et que la structuration de ce pôle pigistes se poursuit, avec la volonté aussi de créer du lien avec les adhérents pigistes que nous avons identifiés, et qui sont syndicalement souvent isolés. Le 13 décembre ils sont tous invités à la fédération.

    En étant présent sur l’ensemble du champ professionnel, CFDT-Journalistes a donc repris du poil de la bête, mais la route est encore longue pour retrouver une audience digne du premier syndicat de France. Pour les années à venir, le développement reste l’une de nos priorités.

    Sur le volet social, il faudra être vigilant sur la situation des entreprises, notamment en presse quotidienne où un plan social drastique est annoncé à La Voix du Nord. D’autres pourraient suivre. Il faudra aussi s’inquiéter d’un financement juste et pérenne pour l’audiovisuel public, condition indispensable pour une information de qualité.

    CFDT-Journalistes entend enfin prendre tout sa part lors des prochains Etats généraux du droit à l’information, voulus par le Président de la République, pour y porter des revendications sociales trop souvent ignorées par ces instances.

  • Le 30 novembre le réseau des Sentinelles Vertes de la fédération F3C-CFDT, dont fait partie la CFDT-Journalistes, proposait un événement Fresque du climat géante. Pour les adhérents journalistes, ces travaux ont permis de mieux comprendre les enjeux, pour mieux traiter les sujets liés à la transition écologique.

     

    « Saisir tout ce qui se joue quand on parle de changement climatique, et comprendre à quel point tout est lié, de nos émissions de carbone au risque de multiplication des conflits armés, en passant par l’effondrement de la biodiversité et l’accroissement des risques sanitaires, est essentiel dans notre rôle d’information du public, et contre le greenwashing », explique Rebecca Martin. Journaliste à France 24 et élue CSE à France médias monde, elle a participé le 30 novembre au grand événement Fresque du climat, organisé par la CFDT, qui a réuni 300 militants à l’immeuble des Fédérations, au 47 avenue Simon-Bolivar à Paris. Elle  est convaincue de l’intérêt d’une telle méthode.

    Conçue par Cédric Ringenbach, la fresque du climat est un atelier scientifique, collaboratif et créatif conçu pour sensibiliser de façon ludique au dérèglement climatique. L’atelier s’appuie sur un jeu de cartes qui présente les causes et conséquences du dérèglement climatique. Les participants discutent et relient les cartes entre elles pour visualiser et mieux comprendre les phénomènes de cause à effet de ce système complexe.

    La fresque géante de Bolivar était un événement ouvert à l’ensemble des fédérations. Elle a permis l’élaboration en parallèle de 16 fresques. Participant à cette initiative, Laurent Berger en a réalisé une, synthèse sur écologie et syndicalisme.

    Cet événement s’est tenu à l’invitation des Sentinelles vertes. Ce réseau de militants se met en place depuis le début de l’année 2020 au sein de la fédération F3C.  Objectif : créer, dans les entreprises, un réseau d’experts sur les questions de développement durable, porter plus loin les revendications et les actions, et susciter de nouvelles vocations.
    Frédérique Thiollier, journaliste et déléguée syndicale à Bayard Presse, en fait partie. Formée à l’animation de Fresques du Climat, elle encourage les sections en entreprise à s’en saisir.  « Je suis toujours très étonnée de constater que les journalistes ne se forment pas massivement à ces questions. Ils sont pourtant nombreux à avoir signé la Charte pour un journalisme à la hauteur des enjeux écologiques. La formation, c’est l’article 9 de la Charte. Les Sentinelles vertes sont tout à fait disposées à proposer des Fresques du climat comme première approche dans les sections syndicales. »
    Une seule adresse pour demander l’intervention d’un fresqueur : sentivertes@f3c.cfdt.fr

     

  • Position de CFDT-Journalistes, de la fédération F3C et du Syndicat national des Médias et de l’Ecrit CFDT à l’occasion de la Mission conjointe de l’Inspection générale des affaires culturelles et de l’Inspection générale des finances sur les règles anti-concentration dans le secteur de la presse et de l’audiovisuel. 

     La fusion TF1 et M6 (qui avait auparavant avalé la radio RTL); le démantèlement des grands groupes de presse français; la concentration entre les mains d’un seul actionnaire de radios grand public comme Europe 1, RFM, et Virgin Radio; tout cela nous interpelle et pose la question des limites à la concentration de la presse.

    Si l’on peut comprendre que les groupes de presse écrite et audiovisuelle ont besoin d’avoir une assise suffisante pour exister dans le nouveau paysage médiatique français, ce qui implique une certaine concentration, on constate qu’ils s’étendent désormais dans tous les domaines : presse écrite, audiovisuelle, web et édition. Ce qui induit, pour certains, une énorme capacité de diffusion, mais aussi un appauvrissement des contenus par les échanges et reprises d’un titre à l’autre des mêmes contenus éditoriaux. Cela a des conséquences sur l’emploi dans ces secteurs.

    La constitution capitalistique de tels groupes de presse entraîne aussi un rétrécissement progressif du pluralisme de l’information, alors que les médias continuent d’avoir une place prépondérante dans le fonctionnement de notre démocratie.

    C’est pour cela qu’il convient de légiférer à nouveau sur ce sujet pour prendre en compte, au-delà du seul champ de l’information ou de la presse « IPG », l’ensemble du spectre de la communication.

    Autonomie, transparence, éducation aux médias

    Pour la F3C CFDT, CFDT-Journalistes et le SNME-CFDT, une nouvelle loi devrait prendre en considération :

    • Le renforcement de l’autonomie des rédactions et le contrôle plus strict du respect du statut des journalistes, ce qui induit notamment la lutte contre la précarisation dans les rédactions.
    • Davantage de transparence dans l’octroi des aides à la presse en réservant des sièges aux syndicats de salariés représentatifs dans la gouvernance de la CPPAP ; et renvoyer à la négociation paritaire et conventionnelle la répartition des aides.
    • Le renforcement de la représentation des salariés par les organisations syndicales représentatives dans les conseils d’administration des entreprises.

    Pour nous, trois points sont importants :

    • Il faut permettre l’équilibre des opinions dans tous les domaines : presse écrite, audiovisuelle et édition.
    • Il faut prendre en compte, notamment dans l’audiovisuel, l’ensemble de l’éditorial : l’information, la culture, le divertissement.
    • Il faut renforcer l’éducation aux médias.

    Concrètement, nous plaidons pour la création d’une grande instance de régulation indépendante, légitime et crédible avec, par exemple, la fusion de l’ARCOM et de l’ARCEP (Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse) dans laquelle siègeraient des représentants de la société civile, des représentants des salariés, des éditeurs, qui puisse regarder les contenus et soit garante de la pluralité de l’information, de la liberté d’accès à la culture quel que soit le support : papier, radio-tv, web. Il ne s’agirait pas de contrôler l’éditorial de chaque média, mais bien de veiller, en ayant une vue d’ensemble, au respect du pluralisme de la production à la diffusion.

    En ce qui concerne le renforcement de l’autonomie des rédactions, la charte déontologique de Munich (1971) reconnue par la Fédération internationale des journalistes, donne une piste de réflexion en disposant que « L’équipe rédactionnelle doit être obligatoirement informée de toute décision importante de nature à affecter la vie de l’entreprise. Elle doit être au moins consultée, avant décision définitive, sur toute mesure intéressant la composition de la rédaction : embauche, licenciement, mutation et promotion de journaliste. »

    Garantir l’indépendance de l’information et son pluralisme dans un contexte de fusions – concentration des organes de presse, pourrait enfin passer par la mise en place de nouveaux seuils, cela pour éviter la mainmise sur les médias, en limitant la participation des grands groupes au capital des médias.

    Fait à Paris, le 18 janvier 2021

     

  • Dans un communiqué, Frédéric Sève, secrétaire national de la CFDT, rappelle que « la violence n’a pas le droit de cité » et fait part de sa solidarité avec les militants de SOS Racisme et les journalistes de Quotidien et de Médiapart qui ont été frappés :

    « La campagne présidentielle s’engage sur de bien mauvaises bases. La violence, quelle que soit sa nature, ne peut être tolérée dans un débat démocratique. Les images de ce week-end nous le rappellent tristement.

    Les candidats et les candidates à la fonction de Président ou de Présidente de la République doivent tous respecter deux droits fondateurs de notre démocratie : la liberté d’expression et la liberté de la presse.

    Il est inadmissible que des journalistes soient empêchés d’exercer leur mission d’information, qu’ils soient violentés ou exfiltrés d’un meeting, que des militants soient roués de coups lors d’un rassemblement.

    La CFDT exprime toute sa solidarité avec les militants de SOS Racisme et les journalistes de Quotidien et de Médiapart qui ont été frappés dimanche lors du meeting d’Éric Zemmour.

    La CFDT a toujours défendu le respect dans le dialogue et la confrontation des idées. Elle rejette toute forme de violence et de contraintes. Encore plus lors d’une campagne politique à l’issue de laquelle les Français désigneront celle ou celui qui sera le garant de la démocratie. »

    A Paris, le 6 décembre 2021

  • La CFDT est résolument engagée dans la prévention et la lutte contre les violences sexistes et sexuelles, violences qui s’exercent de façon systémique et à travers le monde, principalement contre les femmes.

    Elle appelle à participer aux marches contre les violences sexistes et sexuelles organisées le 20 novembre 2021 partout en France par le mouvement #NousToutes dans le cadre de la journée internationale pour l’élimination des violences faites aux femmes.

    La mobilisation des journalistes est d’autant plus importante que les mauvaises pratiques de harcèlement et de propos graveleux sont dénoncés dans de nombreuses rédactions et que les témoignages, sous le #MeTooMedia affluent, libérant une parole trop souvent retenue.

    Finis les comportements sexistes au travail : tolérance zéro à Radio France

    #NousToutes rassemble un très grand nombre d’associations féministes et d’organisations. Et pour les militants CFDT, la couleur de mise ce jour-là ne sera pas le orange mais le violet, synonyme de lutte pour l’égalité entre les hommes et les femmes, parce que ces manifestations doivent transcender largement les divergences qui traversent toutes ces organisations en se concentrant sur ce qui nous rassemble : la volonté partagée de mobiliser l’ensemble des citoyens et citoyennes ainsi que les pouvoirs publics dans le rejet et la lutte effective et continue contre les violences sexistes et sexuelles.

    À l’approche de la manifestation, Béatrice Lestic, secrétaire nationale CFDT, a rappellé les chiffres concernant violences sexistes et sexuelles (au travail ou ailleurs), et le cadre légal existant :

    • En France, 210 000 femmes par an sont victimes de violences sexistes et sexuelles.
    • En France, 90 000 femmes par an sont victimes de viol ou tentatives de viol. Dans 90% des cas, la victime connaissait son agresseur.
    • En Europe, 6 femmes sur 10 déclarent avoir été victimes au cours de leur carrière, d’un acte sexiste ou de violences sexuelles.
    • En Europe, 1 femme sur 10 déclare avoir été victime d’un rapport sexuel non consenti au travail.

    Voici son intervention lors de l’émission Expression directe :

     

    https://video.cfdt.fr/portail/expression-directe-radio-violences-sexistes-et-sexuelles-le-point-avec-beatrice-lestic-srv2_1204984

     

  • Ce samedi 1er mai se tiendra, cette année encore, dans un contexte sanitaire tout à fait particulier. La confédération CFDT propose à tous un événement en ligne visant à mettre à l’honneur le travail des équipes militantes aux côtés des travailleurs pour les aider à traverser cette crise. Ce temps d’échanges en direct se tiendra en présence de Laurent Berger, de Marylise Léon et de militants, le samedi 1er mai, à 10h30, sur la page FB de la confédération (facebook.com/la.CFDT) et le site cfdt.fr.

     

    Ce sera l’occasion de présenter, avec les éclairages de Marylise Léon, secrétaire générale adjointe de la confédération, les résultats de l’enquête de la CFDT commandée auprès de l’institut de sondage Kantar et de mettre en lumière le vécu des travailleurs et travailleuses dans la période ainsi que leurs aspirations pour la sortie de crise, un an après.

    Cette présentation sera ponctuée de témoignages d’équipes, sur ce qu’elles ont mis en place pour accompagner leurs collègues, les protéger, les aider…  Un temps d’échanges avec Laurent Berger sur la période et les priorités de changement viendra conclure ce live.

    Vos souhaits en pancartes

    Durant ce direct, vous pourrez poser vos questions, réagir aux échanges, vous exprimer en commentaires : ceux-ci seront transmis à nos invités par nos animateurs.

    En complément de ce dispositif, vous pourrez vous exprimer, tout au long de cette journée sur votre souhait de changement pour le monde du travail (ex : pérennisation du télétravail, meilleur répartition de la richesse créée, meilleure reconnaissance des emplois et des compétences,…). Le principe est simple : écrire votre souhait sur une pancarte, vous prendre en photo et la publier sur les réseaux sociaux avec le hashtag#1erMaiCFDT.

    Journalistes, faites savoir vos voeux pour votre cadre de travail, vos droits, faites connaitre vos engagements ! Participez !

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